Faites-vous cette erreur qui vous bloque dans le passé ?

Chercher des explications : la grande erreur qui vous bloque dans le passé.

Vous vous débattez avec une blessure affective. Vous cherchez la paix intérieure.
Mais malgré vos efforts, vous ne parvenez pas à vous libérer du passé, de votre rancune, de votre ressentiment, de vos regrets, de vos reproches.

De votre COLÈRE !

Votre énergie s’évapore en vaines ruminations.

Vous êtes comme ligoté à ce qui vous a fait du mal… il y a un mois, un an, 10 ans.
Vous sentez que vous vous enfoncez dans les marécages négatifs, et que vos tentatives pour en sortir, au lieu de vous faire du bien, vous font encore plus de mal, parce que ça ne marche pas et que vous perdez espoir.

Peut-être que vous vous demandez si ça finira un jour, cette souffrance.

Vous avez trop d’émotions en vous: de la colère, de l’agressivité, de la peur, une pointe de culpabilité et surtout, surtout, un infini désordre intérieur.
Vous avez perdu votre amour-propre, votre estime de vous, et vous ne croyez plus en votre avenir.

Les ruminations vous mènent au bord de la dépression.

Vous vous sentez à la fois abattu, épuisé et paradoxalement toute prêt à exploser de frustration !

Vous savez que vous avez besoin de solder ce passé pour aller de l’avant, et vous vous demandez comment faire.
Peut-être avez vous consulté un professionnel qui vous a encouragé à revivre ce passé, mais ça ne vous a pas soulagé.
Et c’est normal !

 

La plupart des professionnels cherchent des explications, des interprétations… ils vous invitent à revivre le passé en cherchant des causes, parfois en cherchant des coupables.
Mais ça ne sert à rien  !
Vous n’allez pas vous libérer du passé en replongeant une fois, 10 fois, 50 fois, 100 fois dans ce même passé douloureux !

C’est fou de faire ça ! C’est fou de gratter sansn cesse une plaie qui démange ! Ça n’a aucun sens !

Ça ne fait qu’entretenir la souffrance !!
Votre but est la libération.

Vous voulez vous libérer du passé.

Vous libérer de ce fardeau.
Comprenez bien que la 1ere chose à faire et de cesser de vouloir comprendre le passé, en distribuant des explications, des évaluations, des interprétations, en cherchant des coupables.

Vous ne trouverez jamais la réponse à votre POURQUOI. Vous vous perdrez en suppositions gratuites qui ne vous apportent rien !

Vous ne trouverez JAMAIS de véritable explication aux comportements des autres.

Pourquoi il a fait ci ou ça. Pourquoi elle ne m’a pas soutenue. Pourquoi il ou elle ne m’a pas aimée. Pourquoi personne n’est venu à mon secours.
Vous n’aurez JAMAIS de réponse à ces questions. Jamais de vraies réponses.

Pour des centaines de raisons.

Parce que vous ne pouvez pas vous mettre à la place de l’autre pour essayer de le comprendre,
La personne impliquée elle-même, était peut-être incapable de dire pourquoi elle a agit comme ci ou comme ça. Sur le moment même, alors  … vous pensez bien des années après, c’est de la science fiction !

Reconnaissons nous même que nous ne savons pas toujours pourquoi nous agissons comme nous agissons. Nous ne sommes pas des êtres rationnels. Nous « sommes agis » si j’ose dire, bien plus souvent que nous agissons. Cela passe à travers nous. Malgré nous.

(Pour avoir des explications scientifiques à ce phénomène, je vous invite à lire le neurobiologiste Antonio Damasio « L’erreur de Descartes », « Le sentiment même de soi », « Spinoza avait raison ».)

Nos propres comportements nous restent largement mystérieux.

Alors comment penser que nous pouvons trouver un POURQUOI au comportement des autres.
C’est une illusion. C’est de l’orgueil.

Non seulement il n’y a pas d’explications vraies, mais aucune explication d’aucune sorte ne peut vous aider à vous sentir mieux.

Admettre que vous n’aurez JAMAIS d’explications, c’est votre 1er pas à faire sur le chemin qui va vous permettre de vous couper de ce passé douloureux. C’est un nécessaire lâcher-prise.

Le secon pas sera de pardonner. Pour vous, pas pour l’autre …

La psychologie n’existe pas

il faut se libérer du fantôme de « la » psychologie

Je vais vous donner 15 arguments pour vous prouver que le terme « la psychologie » est un leurre. (et je me limite volontairement !)

Voici ces arguments :

  • Thérapie Comportementale et Cognitive

  • Psychanalyse

  • Approche Centrée sur la Personne

  • Psychologie Transpersonnelle

  • Psychologie Analytique

  • Thérapies humanistes-existentielles

  • Thérapie systémique

  • Gestalt Thérapie

  • Logothérapie

  • Psychologie positive

  • Psychiatrie

  • Neuroscience

  • Hypnose

  • Thérapie systémique

  • Pleine conscience

C’est un inventaire à la Prévert !!!! Quoi de commun dans tout ça ?

Le point commun à la « psychologie » ? Les psychothérapeutes, les thérapies !

(Et aussi la prétention à comprendre notre âme et notre esprit, et à soigner ses maux.)

Mais si l’on y regarde bien, la psychologie se ramifie en tellement de théories différentes et de pratiques contradictoires (et parfois incompatibles), que je vois mal pourquoi on les met sous un même parapluie.

Les magazines spécialisés ne s’y trompent pas, le plus célèbre d’entre eux s’est baptisé « Psychologies » au pluriel. Depuis quelque temps déjà on trouve aussi « Cerveau et Psycho » qui permet de mieux comprendre les avancées de la psychologie et des neurosciences. Et « Le cercle Psy » se présente comme « le journal de toutes les psychologies ».

Pourtant, de ce chapeau global,  de ce mot générique, découle le droit (ou non) de s’affirmer «Psychothérapeute»

On voit des courants de pensées qui s’ignorent (parfois), se dédaignent et se caricaturent (mezza voce, souvent) et qui pourtant retrouvent leur unité pour défendre un titre et un droit d’exercer sous ce titre.

L’esprit de corps fait des merveilles, (surtout quand il s’agit de défendre «des parts de marché» face à ceux que l’on présente comme des «imposteurs» à savoir les coachs, les psychopraticiens etc)

Chacun pense (de bonne foi sans doute) détenir LA vérité.

Et la vérité devient rapidement un dogme.

La remise en cause du dogme est perçue comme insupportable. (On n’est plus très loin du fanatisme.)

(Il suffit de voir les réactions hystériques de certains psychanalystes à la critique de Freud par Michel Onfray. D’ailleurs je m’interroge sur la capacité à «soigner» les autres, venant de personnes semblant elles-mêmes bien peu équilibrées et apaisées. A noter pour autant que certains psychanalystes ont réagit avec mesure et on reconnu les failles du «maître»)

Rien de pire qu’un dogme, qui nous enferme dans un cadre de pensée qui limite notre créativité intellectuelle et notre esprit critique.

Et qui nous assigne une étiquette, une identité.

Les dogmes ne sont que des mots mis bout à bout. Et qui, pris trop au sérieux peuvent conduire à des affrontements.

C’est d’autant plus ridicule, que chacun à un peu tort et un peu raison, mais qu’on ne pourra jamais le prouver !

Car environ 70 % des études « sérieuses » en psychologie ne sont pas reproductibles. (En termes clairs, des mêmes études, menées dans les mêmes conditions donnent des résultats différents)

Est-ce que cela ne devrait pas mener un peu de modestie chez les tenants de LA vérité « psychologique » ?

Et si on sortait un peu des « Pourquoi » et des « Comment».

Nous cherchons donc obstinément l’appareil conceptuel qui pourra une fois pour toute nous donner des explications claires (et des solutions) aux souffrances de notre âme.

Nous sommes victimes de notre fascination pour les explications et les concepts.

Les dogmes, les théories, nous font croire qu’il existe un cadre rationnel à la marche du monde et des êtres, et que lorsque nous aurons vraiment compris, tout sera simple et tout ira bien.

Nous cherchons donc systématiquement à classer les êtres et les comportements en « catégories ». A mettre la vie « en case ».

Nous aimons les représentations englobantes. Elles nous éloignent de l’incertitude, et sans doute de « la folie ».

Elles nous donnent le sentiment de « comprendre ».

Et près la compréhension, vient la sensation d’avoir prise sur ce qui nous arrive. Les croyances donnent un sens au monde, et c’est rassurant, surtout en ces temps anxiogènes et incertains.

C’est cela que nous cherchons dans cette compréhension réelle ou supposée: le sentiment de redevenir acteur, de pouvoir agir sur les événements, agir sur notre psychisme.

Mais avons vraiment besoin de « Comprendre » pour « Agir » ?

Ne croyez-vous pas que le fait de chercher à comprendre « Pourquoi » et « Comment » nous empêche de changer et d’avancer ?

Que cela nous empêche de nous ouvrir à autre chose ?

Je crois que nous avons besoin de nous défaire de nos idées, de nos certitudes, de nos représentations, de nos évidences, de nos étiquettes.

Que nous avons besoin de nous défaire de ce qui est de l’ordre de « l’enchaînement mental »

Les épreuves de la vie peuvent nous être utiles.

En nous sortant du confort et du ronron, elles nous révèlent quelque chose de nous-mêmes.

Cet espace d’incertitude, de bouleversement est paradoxalement extrêmement fécond: Tout s’efface, et alors tout peut se recréer.

L’effondrement des certitudes permet d’ouvrir un espace pour bâtir autre chose, reconstruire sur de nouvelles bases, déployer un autre espace intérieur. Plus libre, plus autonome, plus expérimental.

Passer de la théorie à la pratique !

La plus part des spiritualités, et des philosophies (antiques) insistent sur la pratique.

C’est le cas du bouddhisme, du stoïcisme, de l’épicurisme (les philosophies antiques ont inventé les «exercices spirituels »)

Et dans la pratique, il n’y a pas de dogme. Juste des hypothèses.

Il y a simplement des résultats. Ou pas.

Car nous sommes tous différents, tous uniques (Et il ne s’agit pas ici de flatter votre égo, comme le font hélas trop de marketeurs et de gourous du développement personnel !)

Nous sommes tous différents et tous uniques. Singuliers, particuliers.

Il n’y a pas une seule façon de guérir son âme, d’aller mieux ou d’être heureux.

Car, oui, nous sommes tous exceptionnels, au sens ou nous sommes des exceptions!

Même de vrais jumeaux ont des empreintes digitales différentes !

(Voilà aussi une bonne raison de cesser de se comparer)

Et c’est parce que nous sommes tous si différents, dans nos pensées, nos croyances, nos émotions …

                … que j’affirme qu’il faut oublier les dogmes pour aller vers une pratique concrète du changement.

Certes, c’est moins rassurant !

Le coach, ou le psy qui vous dit « Je sais », aura forcément plus d’impact que celui qui vous dit modestement « Nous allons essayer, ensemble ».

Mais lequel est le plus réaliste ? Le plus sincère ?

Lequel est le plus proche de votre ressenti ?

Lequel vous offre l’expérience la plus authentique ?

Alors voilà ma conviction :

Ne nous laissons pas entrainer par le conformisme, par le prêt-à-penser !

Sortons des sentiers battus.

Refusons l’argument d’autorité, remettons en question « ceux qui savent » (Qui savent mieux que nous ce qui nous convient, et ceux qui pensent à notre place. Mais attention à ne pas partir en chemin inverse ! Cela ne veut pas pour autant dire qu’il faut oublier le bon sens et aller vers des pratiques « New-age ». Elles sont bien souvent le fait des personnes qui cherchent à vous berner, ou qui manquent de construction intérieure. Quand c’est flou, il y a un loup 😉 )

En matière de bien-être et de bonheur, la pensée et la raison figées peuvent être des obstacles, des limitations.

Tout le travail d’une personne en recherche est d’aller au-delà de ses représentations du monde et des êtres.

Il faut en finir avec les simplifications englobantes, les certitudes, les recettes et aller vers une pratique inscrite dans le réel.

C’est moins «vendeur», moins «magique», mais c’est ça aussi être adulte: arrêter de croire aux explications simples et arrêter de courir après les contes de fées !

La vie elle-même est magique. Elle est un privilège.

Alors saisissons-nous de notre vie !

Et empressons-nous de la vivre …..

                   ….. et non pas de la penser ou de la rêver.

 

 

Yoga du rire, des résultats prouvés

J’arrive tout juste de Rennes, où je me suis formée au Yoga du Rire !

« Dans le corps, chaque épisode de rire aide à la circulation de la vie: la tension artérielle diminue, les artères du coeur facilitent le passage du sang et de l’oxygène, les deux branches du système nerveux autonome se rééquilibrent et même les cellules immunitaires sont plus actives contre les virus ou contre le cancer … » David Servan-Schreiber, juin 2009.

Une vraie méthode…

formation professeur yoga du rire dans une entrepriseElaborée par un médecin avec effet immédiat : 40 années de littérature scientifique montrent son impact sur la joie de vivre, l’enthousiasme et la vitalité. Véritable méthode anti stress déclenchant des process physiologiques, psychologiques et sociaux très bénéfiques pour l’intéressé et son entourage. Le yoga du rire justifie son entrée en entreprise, en établissement scolaire ou encore auprès du grand public et intéresse depuis peu les scientifiques français jusqu’à le recommander au quotidien.

Le Yoga du rire améliore la santé, modifie votre façon de voir la vie et augmente votre capacité à vivre le bonheur … et un véritable outil de développement personnel !

 http://www.yoga-du-rire-observatoire.info/

Les bénéfices de la gratitude

J’ai reçu en l’espace de quelques heures plusieurs remerciements fortement exprimés, et cela m’a donné envie de vous parler de l’usage de la gratitude et du don pour être heureux.

«Donner, recevoir, restituer» sont les modalités d’un véritable échange, d’une vraie relation.

Dans mon métier, je donne de l’écoute, de l’attention, de la confiance, du soutien, de l’espace, de l’acceptation. Je reçois de la confiance, de l’intimité, de la gratitude.

Pour moi cette gratitude librement exprimée est d’abord professionnellement utile, puisqu’elle me montre la qualité de ma pratique, me permet de me situer. Ensuite, elle est personnellement vivifiante: devant les effets concrets de mes interventions, je suis encouragée à persister dans ce métier et à toujours croire dans le potentiel humain à changer, à progresser, à s’actualiser, à vivre le bonheur.

Pour la personne qui exprime sa gratitude, je crois que les bénéfices sont d’abord le partage de la joie, de l’élan vital, du soulagement. La gratitude permet aussi de voir en face tout ce qui est beau en soi et autour de soi, dans l’humain, dans la vie et la relation.

La gratitude, c’est donc de la joie en partage. Ayant reçu cette joie, j’ai eu envie de la restituer.

Merci donc à Marie-Noëlle (Haute-Savoie), Sonia, (Marne), et Dominique (Yvelines) pour leurs mots si chaleureux !

Et à mon tour, j’exprime ma gratitude à mon graphiste, Steve Rebeyrol qui vient de me livrer de splendides cartes de visites, et au créateur de mon site web, Jean-Baptiste Cavenne qui ne ménage pas son temps et ses conseils.

Je termine ce billet avec les mots de André Comte-Sponville à propos de la gratitude, dans «Petit traité des grandes vertus »

« La gratitude est la plus agréable des vertus; non pourtant la plus facile …/… La gratitude est un second plaisir qui en prolonge un premier: comme un écho de la joie à la joie éprouvée, comme un bonheur en plus pour un plus de bonheur. Quoi de plus simple ? Plaisir de recevoir, joie d’être joyeux: gratitude. Que ce soit une vertu dit pourtant assez qu’elle ne va pas de soi, qu’on peut en manquer, et qu’il y a quelques mérites en conséquence à la ressentir »

Les accélérateurs de bonheur

 

« Ah si j’étais riche !!! Alors, pour sûr, je serais heu-reux !!!! »

Et bien … pas tout à fait !

Au risque de casser le mythe, il n’y a pas de lien de causalité direct entre la richesse et le bonheur (pas plus d’ailleurs, qu’entre « la fonte des kilos superflus et le bonheur » ou bien encore « la présence du prince-charmant et le bonheur » … complétez la liste selon votre inspiration !!)

Le sentiment de satisfaction face à sa vie est un état interne relativement stable, qui fluctue peu sous l’effet des grands événements.
Le même constat est valable aussi pour le sentiment de grand malheur !

En revanche le sentiment de bonheur varie beaucoup en fonction des « petits » événements de l’existence, d’où l’intérêt de leur prêter attention, et de s’offrir un max « d’accélérateur de bonheur » (Voir plus bas dans cet article)

Donc, on s’habitue aux « bons » événements !

Des études montrent qu’il faut environ deux ans pour revenir à notre niveau précédent de bonheur après un « pic  remarquable» (gain au loto, mariage…).

C’est encore plus bref pour les bonnes nouvelles d’intensité moyennes !
On s’habitue très vite à une promotion, une augmentation… c’est ce qu’on appelle une habituation hédoniste. On perd alors la sensation enivrante perçue lors de la satisfaction de cette attente forte.

On s’habitue, hélas, à l’agréable et au plaisir car nous avons une remarquable faculté d’adaptation !

D’un autre côté, nous nous habituons donc aussi aux malheurs et aux « mauvais » contextes.

Comment contourner l’habituation pour être durablement heureux ?

Les accélérateurs de bonheur

Les accélérateurs de bonheurs sont des moments éphémères chargés de sens ou de plaisir.

Dans mes coachings, je traque avec ardeurs les micro-manifestations de ce pur plaisir d’exister !

Ces moments sont différents pour chacun d’entre nous: le délice du rayon de soleil matinal sur les pots en verre de la salle de bain, le sourire qui monte en voyant le chat s’étirer, la jouissance du travail bien fait devant une pile de linge odorante, les photos des dernières vacances, la lecture d’un roman, une heure de piscine, un petit tour en forêt, un coup d’œil sur la dernière carte postale reçue ….

Et pour moi, je l’avoue en toute transparence :  la contemplation de ma collection de pelotes de laine et de coupons de tissus !!! Hummmmm !! de vrais bombecs !

Quels sont vos accélérateurs de bonheurs ?

Faites une liste, et glissez idéalement un accélérateur de bonheur par jour dans votre vie !

Quelques idées pour vous guider  ….

• Pour établir votre liste d’accélérateurs de bonheur, vous pouvez chercher parmi vos valeurs:
Par exemple, si la famille est une de vos valeurs fortes, peut-être pouvez-vous trouver un accélérateur de bonheur en lien avec cela: regarder des photos de vos enfants, vous souvenir de la dernière grande réunion tous ensemble, anticiper sur le prochain cadeau que vous allez faire à un proche …De même pour vos autres valeurs fortes, comme l’amitié, le travail, la culture …

• Vous pouvez chercher parmi vos forces:
Quelles sont vos forces, vos talents ?
Etes-vous créatif, êtes-vous un connecteur de relation, ou un pédagogue….

• Vous pouvez chercher parmi vos sensations physiques:
Etes-vous sensible aux belles choses, ou plutôt tactile ? Quel est votre sens dominant ? L’oreillle ? ….
…. à vous de jouer … notez bien vos accélérateurs de bonheur dans votre carnet « Euréka » …

« Je m’émerveille le matin avec une joie secrète de voir la lumière ; je vois la lumière avec une espèce de ravissement, et tout le reste du jour, je suis content » Montesquieu