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Les femmes dépriment plus que les hommes

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Pourquoi les femmes dépriment plus que les hommes

… et comment il est réellement possible d’en sortir.

(Et aussi 2 ou 3 choses à savoir sur le stress que l’on ne vous dit pas)

Les femmes dépriment plus que les hommes. 
C’est un fait.
Et c’est vrai pour tous les pays du monde, sans exception.
Je sais que cela va faire bondir certains (ou certaines) derrière leur écrans: mais oui, c’est indéniable, il y a des différences entre les sexes et entre les genres.
Toutes les études le prouvent.

Comme toujours, je veux être bien claire: ce que j’affirme ne sort pas d’une conversation avec ma concierge (d’ailleurs je n’ai pas de concierge), ou d’infos glanées au café du coin (Il n’y a pas non plus de café du coin par ici 🙂 )

Pas plus d’ailleurs que de la statistique au doigt mouillé…. OK ???? Parfait !

Ceci étant fermement dit, revenons à nos brebis …

Pourquoi les femmes dépriment-elles plus que les hommes ?
Il y a d’abord des différences biologiques qui expliquent cette différence entre les sexes.

Notamment hormonales.
De plus, les femmes sont souvent plus stressées que les hommes.

Et hommes et femmes ne souffrent pas du stress pour les mêmes raisons.

Selon plusieurs études, les hommes (en général) réagissent mal au divorce, à la séparation, et aux difficultés au travail.
Les femmes, elles, sont plus sensibles aux deuils (Y compris dans l’entourage large) , aux conflits, aux maladies graves.

La femme souffre de ses liens, de ses relations.

La femme souffre d’être trop reliée. Ou trop peu. Ou mal.
Son rôle et son réseau social proche.
Voilà ce qui amène du stress dans la vie d’une femme.

Typiquement: les relations amoureuses, l’éducation des enfants et le rôle de mère.

De plus, les femmes ne réagissent pas de la même façon que les hommes devant les situations stressantes.
Cela ressemble à un lieu commun, à une image d’Epinal à deux francs six sous, et j’en suis désolée, mais la vérité et là:

Face au stress, les femmes ruminent.
Et les hommes agissent (Quitte à ce que se soit en mettant un bourre-pif au voisin) Et se distraient aussi… ils pensent à autre chose…

Les femmes sur-réfléchissent.
Elles tournent éternellement la situation dans leur tête.
Elle agitent des pensées négatives.
Bien sûr, ce n’est pas homogène.
Ce n’est pas gravé dans le marbre.

Rien n’est jamais gravé dans le marbre en matière humaine.

Et ceux qui vous disent le contraire sont des dogmatiques et/ou des vendeurs de …
Mais passons …

Oui, certaines femmes agissent et certains hommes ruminent…

Mais il y a une tendance statistique significative.
En terme psy, c’est ce qu’on appelle les styles de réponse (RST).
Et le style de réponse est extrêmement stable.
Quand une personne adopte un «style», elle s’y tient.

Hélas …..

Voilà comment, à partir de l’adolescence, les femmes sont deux fois plus susceptibles que les hommes de souffrir de dépression. (Dans tout les pays et dans tout les milieux !

J’en ai MARRE d’entendre que la dépression est un luxe de riche qui s’écoute !)

La dépression chez la femme est plus sévère.
 Les risques de rechute sont plus grands.
Le risque de dépression chronique est plus élevé.
La dépression est plus précoce.
Les tentatives de suicides sont plus fréquentes (Mais la mortalité est supérieure chez l’homme)

C’est sombre ?
En un sens oui.
En un sens non.

Comme je dis toujours à mes clientes (Je radote beaucoup, elles vous le diront 🙂 )

Toute médaille a un revers. On ne peut pas regarder un seul aspect (L’aspect noir)

Alors pourquoi et comment ces infos peuvent-elles être positives ?
Sur la cause biologique (les hormones) nous pouvons agir.
Et surtout agir naturellement.

Je ne cesse de le dire et de le l’écrire (ôde au radotage ! ) : l’exercice physique, l’alimentation, le sommeil et les émotions positives influent sur nos hormones. Et vice de Versailles.

Sur les styles de réponses, nous pouvons agir aussi.
Evidemment.

Il n’y a pas de fatalité à la «rumination».
Comme toujours, face aux difficultés, c’est une question de stratégie !

Il faut agir sur trois plans:
• Les comportements,
• Les cognitions,
• Les émotions.

Il est possible de mettre sur pied un plan d’action efficace, qui aura des effets rapides et concrets.
L’essentiel est de ne pas attendre trop longtemps !
Plus vous restez dans la zone grise de la déprime, plus cela va «s’enkyster», et plus il sera difficile d’en sortir.
Et plus votre déprime sera difficile à gérer pour vos proches.

Vous trouverez des pistes pour sortir du stress dans cette conférence.

Et dans celle-ci « Petits bourdons et grosse déprime. En sortir ! « 
Et beaucoup d’exercices présents sur mon site peuvent vous aider à faire un premier pas, à trouver un premier succès, qui va vous encourager à aller plus loin.

Y compris si besoin, à m’appeler pour une cession de clarification.

Bel été à tous !

 

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