C’est quand le bonheur ?

C’est quand le bonheur ?

Le bonheur dans tous ses états !

Au programme de cette webconf confinée-décoiffée: une discussion à la bonne franquette, avec quelques lignes directrices :

– Comment définir le bonheur ;

– Ce qu’il est, ce qu’il n’est pas ;

– C’est quoi la psychologie positive ? (Indice : ce n’est pas de la pensée magique, ni la méthode Coué !)

– Pourquoi vouloir être plus heureux ? C’est égoïste ??

– Il y a un gène du bonheur ?

– Et le plaisir alors ? (et la tendresse bordel ! Dédicace pour les moins de 50 ans )

– L’habituation hédoniste … ( t’as pas pire comme expression, Sylvie ??)

– Les conséquences et les effets de votre bien-être sur vos proches .. et sur la société !

– L’application de la théorie de la poule et de l’oeuf appliquée à votre réussite ;

– Les polémiques autour de la recherche du bonheur ;

– Le sens de la vie c’est quoi ? c’est donné dans le berceau ???

– La puissance d’exister et ce qui dépend de vous ;

– Et si on tordait le cou à Tatie Danielle ?

– Notre cerveau nous raconte des bobards !

– La boussole du bonheur ;

– Les 6 besoins psychologiques de base ;

– Comment mettre le bonheur au programme de sa vie ;

– Le bonheur est-il moral ?

– La place des émotions et le ratio de Losada (sans oublier Antonio Damasio);

– La belle histoire (vraie) de l’étude des nonnes ;

– La place de nos valeurs et de nos besoins (et la différence entre les deux)

– Pourquoi il ne faut jamais dire « Tu as tout pour être heureux ».

et aussi :

* Comment être heureux, épanoui …

* Comment se sentir vraiment plus fort, plus armé, plus compétent dans la vie …

* Comment contribuer aux bonheur des autres …

* Comment être résilient …

Manquer d’affirmation de soi, c’est perdre notre droit au bonheur

Manquer d’affirmation de soi, c’est perdre notre droit au bonheur

Dire oui quand on veut dire non, une attitude doublement perdante !

Dire oui « malgré soi », c’est éviter l’inconfort immédiat, celui que l’on ressentirait à poser un refus, à encaisser la déception de l’interlocuteur, et à se sentir dans la peau d’une personne peu sympathique ou peu collaborative.

Mais nous le payons immédiatement par la perte de l’esitime de soi, la frustration, la colère contre l’autre qui nous demande « encore » … et j’en passe …

Et à long terme, nous constatons que … toute une vie, nous avons joué contre noter camp.

 

Ne pas s’affirmer sabote notre équilibre intérieur :

Notre bien-être psychique repose sur 6 besoins fondamentaux :

Relation :  Avoir des relations positives avec les autres. Empreintes de chaleur, de proximité, de marques d’intérêt réciproque.

Autonomie : Marquer son indépendance, faire preuve de détermination, montrer une capacité à résister à la pression sociale.

Compétence : Sentiment de maitrise de l’environnement, de contrôle de ce que nous vivons, d’impact sur le monde de par notre action.

Acceptation de soi : Avoir des sentiments apaisés envers le passé, accepter les multiples aspects de soi-même, et faire une évaluation de soi positive.

Foi en sa capacité de croissance personnelle : Penser que l’on est capable de changer, d’évoluer, de développer son potentiel.

Sens de la vie : Pouvoir se donner des buts et une direction, avoir des croyances qui donnent de la cohérence, et que passé et présent se regardent comme un ensemble qui signifie quelque chose.

Il y a un seul bénéfice à l’effacement permanent. Mais ce bénéfice est illusoire.

A court terme, dire « oui » semble bénéfique à la relation. Donc semble bénéfique au regard d’au moins l’un de nos besoin de base.

Mais c’est un trompe l’oeil. Une façade.

La relation inhibée et soumise ruine notre cohérence interne.

Ce semblant de lien est acheté au prix de notre authenticité et de notre bonheur. Cela génère frustration et rancoeur.

Une telle relation n’est pas positive, elle n’est pas constructive.

Les inconvénients et sacrifices dramatiques des « Oui » qui voudrait être des « Non ».

Lorsque nous ne cherchons pas en nous les ressources pour dire le « non » que nous souhaitons, nous piétinons nos besoins.

Et ne le payons le prix fort sur la durée:

Sacrifier le besoin d’Autonomie : dire oui quand nous voulons dire non, c’est abandonner notre droit à choisir et à agir à partir de notre propre volonté. Nous sentons alors que notre vie nous échappe, que nous ne sommes plus à l’origine de nos actions. Nous devenons des marionnettes. Nous perdons le contrôle de ce que nous faisons. De ce que nous réalisons.

Sacrifier le besoin de Compétence : Ces renoncements nous empêchent de faire la preuve de nos capacités et de nos ressources. Ils montrent au monde et à nous-même l’étendue de nos manques, de nos faiblesses. Nous faisons du sur-place, nous ne nous épanouissons pas.

Sacrifier le besoin d’Acceptation de soi : Nos reculades fracassent notre image de nous-même. Comment avoir des sentiments positif envers soi, quand on est pas pour soi-même son meilleur ami ? Quand une petite voix intérieure nous accuse de lâcheté ?

Sacrifier la Foi en sa capacité de croissance : quand cette situation dure et s’installe , nous perdons confiance en notre capacité à en sortir, à changer, à évoluer. A chaque reculade, on se donne la preuve qu’on est coincé dans une impasse.

Sacrifier le Sens de la vie : Cette situation donne un goût d’absurde à notre quotidien, à notre vie.

Car nous agissons contrairement à nos intérêts. De plus, nous cultivons de la rancune envers notre entourage. Nous avons l’impression que l’on profite de nous. Nous n’avons pas ce que nous désirons. Nous ne défendons pas nos droits.

En conséquence, nous risquons de devenir aigris et chroniquement insatisfaits.

Au pire nous glissons vers le dégoût de soi et la dépression, qui est un dégoût de la vie.

Oser dire qui on est, et prendre sa place, pour retrouver son équilibre.

L’habitude de s’effacer est souvent bien ancrée.

Il faudra faire preuve de détermination pour entrer dans un vrai mode de communication où on affirme ses choix, ses valeurs, ses priorités, ses goûts…

C’est à ce prix que l’on peut se construire une vie authentique et retrouver la confiance en soi et l’estime de soi.

Nous avons besoin de cesser de faire semblant pour prendre la place qui nous revient.

Notre vie est unique. C’est à nous de la définir et de la choisir !

 

Estime de soi et confiance en soi

Estime de soi et confiance en soi

Les conséquences du manque d’estime de soi et de confiance en soi.

Quand on manque de solidité intérieure, c’est plus qu’une souffrance. Car il n’y a pas de douleur plus grande que de ne plus croire en soi, de ne plus s’aimer.

C’est presque un handicap.

Parce que l’on se trouve coincé, piégé … bloqué dans des sables mouvants.

Quand on ne se fait plus confiance, quand on se déteste, alors on ne se projette plus vers l’avenir, on a même du mal à vivre le simple présent.

On se limite soi-même, on n’ose pas se dévoiler, on n’ose pas dire , on n’ose plus faire, ni être tout à fait sincère. On Zig et on Zag. On louvoie.

Les conséquences sont nombreuses sur le plan personnel, (dans la vie amoureuse … quel calvaire !) mais aussi (et plus cruellement encore), dans la vie professionnelle.

Du coup, en restant secret, en dissimulant, on déçoit. On se déçoit aussi, surtout.

C’est une très grande angoisse, une très forte souffrance.
Et d’autant plus qu’elle est silencieuse, honteuse …


C’est une épreuve qui donne le vertige.

C’est comme si le sol s’ouvrait sous nos pieds.
Plus rien ne semble solide, stable, fiable.

Peut-être qu’aujourd’hui vous ne savez plus qui vous êtes, ni où vous allez, mais vous pouvez changer ça !

La voix critique intérieure, l’auto-sabotage : votre Tatie Danielle

« T’es bon à rien. Tu rates tout. T’es minable, pas intéressant. Les autres réussissent tout et toi tu es nul, un échec ambulant ! »

Nous allons faire taire cette voix hyper critique qui vous fait vous sentir inférieur. Car, oui !  C’est possible !

Vous avez des qualités. Vous avez une valeur. Même si une petite voix insistante vous dit le contraire.

Il est possible de retrouver la fierté, la sécurité intérieure. Et faire taire cette voix toxique, ces ruminations ! Ce chuchotement de malheur qui vous empoisonne !

Reprendre le contrôle de vos pensées: c’est possible !

Il suffit de lui opposer une autre voix : celle de la sagesse: la voix de votre meilleur ami intérieur.
Il est bienveillant. C’est votre avocat. Il vous connait bien. Il vous connait tout entier, et pas seulement sous l’angle de vos difficultés.
Votre Gimini Cricket intérieur connait vos atouts, vos forces-signatures, vos réussites, vos talents .. alors … laissez-le parler !

Bien sûr, il sait que vous faites des erreurs (qui n’en fait pas, hein ???), mais il sait aussi vos tendresses, vos élans, vos efforts …Il sait que vous êtes .. normal !

Comme nous tous, vous vous bagarrez avec la vie ! Vous avancez comme vous pouvez, vous faites du mieux possible dans l’instant.

Vous cherchez à combler vos besoins. Parfois maladroitement. Mais ce n’est pas par méchanceté ou malice mauvaise, qu’il vous arrive d’être maladroit ou blessant. Vous n’êtes pas une mauvaise personne (sinon vous ne seriez pas là … Car vous ne seriez pas en souffrance. Pardon, mais les « imbéciles heureux » ne cherchent pas à progresser !)

Aller vers l’acceptation de soi.

S’accepter, cela ne veut pas dire faire montre d’une « coupable indulgence » envers soi-même. Cela veut dire se voir comme on est: avec des comportements positifs et d’autres qui le sont moins. Mais sans en rajouter dans l’auto-critique.
Lorsque vous vous acceptez, vous mettez une dose d’auto-bienveillance dans la marmite ! Sans vous coller une étiquette définitive et dévalorisante.

L’acceptation de soi découle de la compréhension de soi.

Cela ne veut pas dire que l’on cautionne son propre comportement, et que l’on veut recommencer ….

Hier, j’ai eu un comportement … bof bof … J’aurais préféré ne pas…. Mais ça ne fait pas de moi une mauvaise personne de la tête ou pied (et de la cave au grenier).
C’est un comportement ponctuel. Pas ma personne. Je ferais mieux la prochaine fois.

 

Retrouver l’estime de soi avec un exercice simple : Célébrez vos forces

Il est très facile d’oublier toutes les fois où nous faisons une différence dans la vie des autres.

Toutes nos micro-interactions positives du quotidien … Car les petites gouttes font les grandes rivières…

Votre vie compte. Votre comportement a un impact.

Votre famille, vos amis, vos connaissances ou vos collègues de travail sont concernés de manière importante par votre façon d’être.

Vous avez une place dans le monde et personne d’autre ne pourrait la remplir de la même manière que vous.



Prenez un cahier spécial, que vous appellerez votre cahier «Euréka».

Dressez une liste de toutes les personnes que vous avez touchées, aidé, soutenu, pris en compte…

De votre cercle proche, jusqu’à des inconnus complets.
De votre meilleur ami, à la personne qui a voyagé à vos côtés dans un train.

Notez tous les noms et les circonstances dont vous vous souvenez.

À côté de chaque nom, et de chaque épisode, indiquez les expériences positives que vous avez donné à cette personne.

Peu importe que ce soit un petit geste ou un grand geste.

Peut importe si c’était ce matin, hier ou il y a quarante ans.
Peu importe qu’ils le reconnaissent ou qu’ils s’en souviennent.
Ce qui compte, c’est que vous, vous en souvenez.

Notez ensuite de quelle qualité vous avez fait preuve à ce moment là: gentillesse, prévenance, joie de vivre, politesse, goût de la transmission …

Au milieu de nos vies, qui sont parfois faites de trop de routine, de luttes, d’échecs et de moments de souffrance, il y a aussi le positif, la beauté, la générosité, l’humour, la bienveillance …

Parfois, c’est difficile de le voir.

Mais cette réalité est là, aussi.

Et elle compte !

Vous avez des forces, des qualités, des talents, qui peuvent être célébrés !

Mettez-vous dans le Mouv’ avec cette vidéo

Let’s go !

Des questions ? Je suis toute ouïe 😉

 

Terribles et merveilleuses émotions

Terribles et merveilleuses émotions

Nos émotions sont indispensables et .. utiles

Nos émotions nous parlent. Elles nous donnent des informations.
La peur, la tristesse, la déception, le sentiment d’échec, l’angoisse …

Elle nous signalent un besoin qui n’est pas comblé, une valeur qui est bafouée ….

Que faire avec les émotions difficiles à vivre ?

Que faire quand tout est trop lourd ?
Comment ne plus être plombé par la tristesse ou la peur ?

Comment apprendre à gérer ses émotions ?

Dans cette vidéo, je vous explique les bases de la « compétence émotionnelle », ce qui était appelé il y a quelques années « l’intelligence émotionnelle ».
Pour gérer vos émotions et vous en servir comme levier de croissance personnelle.
Et surtout … sortir de la souffrance !

 

Pourquoi et comment gérer ses émotions

Pourquoi et comment gérer ses émotions

Gérer ses émotions pour être performant

Imaginez …

Vous rentrez chez vous après une journée de travail bien remplie.

Vous vous garez deux rues derrière chez vous.

Et vous marchez.

Dans votre tête vous êtes encore au boulot. Vous cogitez.

Il est tard, la nuit est sombre. Vous êtes seule.

Petit à petit le silence vous met mal à l’aise.

Vous revenez au présent.

Ça sent l’urine dans cette ruelle.

Il fait froid. Tout le monde est calfeutré à la maison.

Sauf vous.

Vos talons claquent sèchement.

Vous vous sentez un peu trop repérable.

Ça commence à ressembler à un vieux polar  !

Cette idée vous fait sourire.

N’empêche que vous avez hâte de rentrer.

Ce sont des pas derrière vous ?

Vous tendez l’oreille.

Vous marchez plus vite.

On dirait qu’il y a une ombre dans la vitrine.

Votre sac pèse trop lourd sur votre épaule.

Vous le prenez devant vous à bras le corps.

Vous avez la chair de poule.

Votre cœur s’accélère.

Vous repensez à ce vieil article qui expliquait comment se défendre avec son trousseau de clef.

Où sont vos clefs ?

M… ! Au fond du sac !

Il faut choisir .. marcher vite ou ralentir et fouiller dans ce gros fourre-tout.


Vous auriez mieux fait de suivre ces cours de Krav Maga à la fac !!!

Est-ce qu’il y a un commerce où vous pourriez entrer ?

Non … le boui-boui du coin a fermé l’année dernière.

Vous avez le souffle court.

Vous sentez que quelqu’un s’approche.

Vos muscles se tendent.

Vous prenez votre respiration pour crier !

Trop tard !
Un bras passe autour de votre cou.

« Valentine ! Tu déconnes ! Je t’ai pourtant dit de ne jamais te garer vers la gare ! Tu vois comme j’aurai pu t’agresser ?»

Un éclair de rage vous traverse !

C’est ce con de macho du 2éme qui vous drague depuis 6 mois et se croit indispensable !

Vous le repoussez brutalement, et vous lui hurlez dessus !

Non mais quel crétin de vous faire une peur pareille ! Il est temps de le remettre à sa place !

Happy end.
Fin de la peur. Début de la colère.

Trop d’émotions négatives ?

Personne n’aime ressentir des émotions négatives … difficiles, rudes, stressantes.

Pourtant ces émotions sont précieuses !

Aussi précieuses que les émotions positives … faciles, légères, relaxantes.

Toutes nos émotions sont indispensables.

Elles nous alertent, et nous donnent des informations,

Elles guident l’action,
Elles orientent nos décisions,

Elles nous adaptent au contexte.

Et à chaque émotion correspond une fonction.

Pas d’émotion = pas d’adaptation.

Les effets des émotions illustrés par notre exemple:

Classiquement, dans un premier temps, nos émotions augmentent notre perception et focalisent notre attention.

Les stimuli font prendre conscience du contexte, en l’occurrence de la menace.
Nous voyons et entendons des indices que vous n’aurions pas perçu en temps normal.

Les émotions changent nos priorités.

Dans l’exemple, la sécurité devient prioritaire.

Tous les besoins, y compris vitaux, comme le sommeil et la faim, disparaissent face à une émotion forte. La mobilisation sur le présent est immédiate.

– La mémoire sélectionne toutes les infos qui pouvaient nous aider à faire face.

Ici : où se cacher ? comment se défendre ?

Un changement dans la vision de la situation.

La rue qui paraissait familière et sûre, est devenue potentiellement dangereuse car isolée.

– Des apprentissages ultra-rapides :

Ne plus prendre cet immense sac lourd et encombrant.

Veiller à avoir des moyens de défense facilement accessibles.

– Le corps se prépare à l’action pour répondre à la situation:

Adrénaline et cortisol inondent l’organisme

– Adaptation des émotions aux différentes perceptions et jugements :

Ici : passer de la peur à la colère.

5 étapes pour acquérir la compétence émotionnelle, cet outil pour bien vivre.

(Remarque : On dit encore parfois intelligence émotionnelle, mais ce terme reflète moins bien la réalité d’un apprentissage possible.)

Savoir utiliser ses émotions, cela passe par 5 étapes:

Identifier : Les différencier, les nommer,

Comprendre : Trouver les causes et conséquences de cette émotion. Quelle est l’information que je dois tirer de cela.

Exprimer : Etre capable de dire ce que l’on ressent, de manière acceptable par l’autre ou par la société. Et de façon adaptée, proportionnée.

Gérer : Générer des émotions adéquates dans un contexte donné. Ne pas laisser les émotions nous faire perdre le contrôle de notre comportement.

Utiliser : Promouvoir la croissance émotionnelle et intellectuelle. Accroitre l’efficacité au niveau : réflexion, décision, actions.

Toute émotion est précieuse quand elle est bien gérée.

Une émotion est « bonne » quand l’individu sait l’utiliser comme une ressource pour en tirer quelque chose de constructif.

Quand elle est utilisée comme moteur pour passer à l’action.


Cette aptitude est une compétence qui s’apprend.

Les conséquences de la non-gestion des émotions:

Laissées en friche, les émotions négatives peuvent devenir chroniques, créer des troubles psychologiques et dégénérer en dépression.

Les émotions non fonctionnelles peuvent dégrader nos relations professionnelles, sociales et amoureuses.

Elles peuvent nous amener à des comportements inacceptables par la société : crises de colère, agressivité, jalousie …

Elles peuvent aussi dégrader la performance de notre mémoire et avoir un impact négatif sur notre santé.

Les mauvaises solutions face au mal-être:

Face aux émotions envahissantes, l’évitement, le déni, ou la lutte sont des attitudes inefficaces.

On ne peut pas éviter ou lutter contre une émotion ou une pensée.

En lisant cette phrase, essayez de ne pas penser à un éléphant bleu, juste pour voir !!!

Bien entendu vous avez pensé à un éléphant bleu …

C’est notre façon naturelle de fonctionner.

 

Alors si l’évitement ou la lutte ne fonctionnent pas, que faire ?

Il faut apprendre à maitriser le processus en 5 étapes.

C’est ainsi que se construit la compétence émotionnelle.

Cette compétence qui permet de ne plus se laisser submerger par des émotions et des humeurs qui nous pourrissent la vie.

Pourquoi c’est si dur de changer ?

Pourquoi c’est si dur de changer ?

Nos 4 difficultés pour sortir de nos souffrances :

  • Ce que l’on pense,
  • Ce que l’on fait,
  • Ce que l’on ressent,
  • Et enfin : nos relations.

Ou dit autrement : nos cognitions, nos émotions, nos comportements … et notre environnement.

 

Dans cette vidéo, je vous propose quelques pistes pour prendre du recul sur votre situation !