Pourquoi c’est si dur de changer ?

Pourquoi c’est si dur de changer ?

Nos 4 difficultés pour sortir de nos souffrances :

  • Ce que l’on pense,
  • Ce que l’on fait,
  • Ce que l’on ressent,
  • Et enfin : nos relations.

Ou dit autrement : nos cognitions, nos émotions, nos comportements … et notre environnement.

 

Dans cette vidéo, je vous propose quelques pistes pour prendre du recul sur votre situation !

 

Positiver ! L’année dernière était belle et je le prouve !

Tirer le meilleur de vos expériences

Pour que 2018 commence bien, il faut quitter 2017 en bons termes !

Alors, je vais vous faire vraiment aimer cette année qui se termine.

Pas de fâcherie, pas de bouderies, pas de remords, pas de regrets … à propos du passé … à propos de vous.

Etre constructif sur votre présent pour construire l’avenir:

Lançons-nous ensemble dans un bilan constructif qui vous dynamise à l’hélium pour une nouvelle ère 😉

Mon souhait pour vous, c’est que 2018 soit VOTRE année.

Celle où vous vivrez votre vraie vie, une vie qui vous ressemble … et où vous exprimerez votre plein potentiel et vos valeurs.

ça passe par une décision, par une démarche volontaire.

Pour avoir une vie différente, il faudra faire des choses différentes.

A commencer par revisiter votre passé sous un angle qui permet de construire.

Cette année, comme toutes les autres, vous avez connu des joies et des peines, des chances et des coups du sort, des succès et des échecs…

Nous allons mettre en valeurs les belles choses…

Allez c’est parti, top départ pour une exploration positive et constructive de 2017 !

Je vous invite à prendre un carnet pour noter vos réflexions.

Ecrire, c’est le meilleur moyen de prendre profondément conscience des choses.

On commence par les relations !

Avec une question « découverte » pour commencer!

Quelle est la meilleure personne que vous avez rencontré cette année ?

Pourquoi pensez-vous que cette personne est remarquable ?

Quelles sont ses qualités ? Qu’est-ce qu’elle vous a apporté ? Qu’est-ce qu’elle vous a appris sur les être humains en général ou sur vous ?

En quoi sa fréquentation vous enrichi et vous rend meilleur ?

Est-ce que cette personne vous inspire ? Est-ce que son exemple est motivant ?

Et pour aller plus loin …

Et à propos de vos autres relations … quelles sont les personnes que vous voyez régulièrement ?

Qu’est ce que chacune de ces personnes vous apporte ? Que ressentez-vous comme émotion ?

Quels sont vos échanges ?

Dans chaque relation, êtes-vous plutôt donneur ou receveur ?

Je vous propose de continuer ensemble notre exploration de l’année écoulée pour en tirer le meilleur et rebondir !

Ce bilan constructif va vous remplir le cœur de l’optimisme dont vous avez besoin !

L’ivrogne, le lampadaire et le bonheur.

L’ivrogne, le lampadaire et le bonheur.

Donner et recevoir

Il y a 16 ans de cela, quand j’ai commencé à pratiquer l’écoute bénévole des personnes en souffrance, j’ai entamé un long chemin de gratitude.

J’ai tellement, tellement appris grâce aux personnes qui se sont confiées à moi.

Ce que j’ai entendu m’a changée.

En mieux.

J’ai écouté des histoires de passions, de trahison, de pertes, de solitude, de confusion, d’espoir …

J’ai admiré des personnes au courage inouï face au destin, face au handicap, y compris mental.

J’en ai compris d’autres qui n’avaient tout simplement plus la force, et voulaient en finir avec trop de souffrance.

J’ai aussi eu de la peine pour des pervers perdus dans leurs délires, des manipulateurs … Enfermés dans leur incapacité à établir un échange avec l’autre.

Recevoir et restituer … faire  circuler

La personne la plus volontaire et la plus déterminée à améliorer sa vie que j’ai entendue était handicapée mentale.

Son esprit était simple comme celui d’un enfant.

Quelle leçon. Quelle claque !

Elle m’a mis les larmes aux yeux. J’avais des frissons en l’écoutant.

Et aujourd’hui encore en y pensant.

Je ne l’oublierai jamais, cette toute jeune fille.

Pas de parents, une vie en foyer, un handicap mental et une volonté de fer ! Une lucidité totale !

Aucune plainte chez elle !

Uniquement la détermination à être heureuse. Autonome. Et fière !!

Oui, fière !

Consciente de son retard mental, elle voulait faire le maximum avec les capacités dont elle disposait !

Elle se programmait des petits objectifs.

Et elle récompensait chacun de ses progrès.

Elle s’offrait des fleurs avec l’argent qu’elle gagnait en faisant la plonge, un peu en douce de la légalité …

Je ne me souviens pas si elle savait lire.

En revanche je me souviens de m’être demandé combien d’adultes « intelligents », voir hautement éduqués, amateurs de développement personnel, était capables d’une telle détermination.

Et moi même, étais-je digne de m’envisager comme son égale ?

Avais-je comme elle, la sagesse de distinguer les choses sur lesquelles je pouvais agir et celle sur lesquelles je n’avais pas de prise ?

Etais-je capable de me projeter avec détermination dans un avenir incertain ?

De me surpasser ?

Clairement non.

Je n’avais pas sa force.

Ni sa lucidité.

Mon mental tournait comme un hamster dans sa cage.

Malgré les apparences , je vivais dans un monde de confusion.

La confusion est le principal obstacle au bonheur.

L’incapacité à savoir ce qu’on veut changer.

Ce qu’on veut VRAIMENT (Pas seulement les rêveries superficielles, qui ne coûtent rien et nous tiennent dans un faux confort, dans « l’illusion de faire ».)

L’incapacité à savoir qui on est.

Et même à savoir ce que l’on aime.

L’incapacité à savoir comment faire pour être heureux. Par où commencer.

Livrogne et le lampadaire

Vous connaissez peut-être cette histoire comique et absurde, de l’ivrogne qui cherche ses clefs sous un lampadaire.

Pourquoi sous le lampadaire ?

Parce que c’est-là qu’il y a de la lumière.

Nous sommes souvent des ivrognes du bonheur, nous le cherchons là où il n’est pas.

Juste parce qu’il y a de la lumière.